| Dernières réponses | |  (okai, fais com tu veux, défoule toi sur moi mais j'en es rien à foutre!!!Primo: chuis pas ta copine et Deuxio tu me traite pas okai?? en + pourais-tu me dire pourquoi je me prendrais pr une roleplayeuse??)
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| | [ HJ : Espèce de ************************************* J’espère que tu ne te considère pas comme une bonne roleplayeuse... T’es médiocre. Moi lire les rp des incompétentes dans ton genre me donne la nausée ! ******* et rien que pour le fun je vais faire comme si ce que tu avais écrit n’avait jamais existé. ]
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Le jeune homme ne senti absolument rien lorsqu’il fut poser sur l’un
des lits blancs de l’infirmerie. Il ne lâcha qu’un petit souffle en se
tournant vers la droite. Le jeune homme dormit longtemps, sans
aucun ronflement.
Il y avait une infirmière autre que cette incompétente des mystiques
de Jupiter, qui venait prendre soin de lui en soignant ses blessures.
Après environ quelques jours, Kaïtô ouvrit doucement ses paupières.
~ Uhm... ?
Encore un peu somnolent, il baissa les yeux vers son ventre, son
chandail avait été retiré et maintenant il y avait des bandages blancs
qui le recouvrait. De sa main, Kaïtô poussa la couverture sur le sol, au
moins il avait toujours son pantalon bleu. Rapidement, son regard fit
le tour de la pièce avant de finalement prendre conscience de
l’absence d’Eiji.
~ E... Eiji ??!
Sans trop attendre, le jeune homme débarqua du lit et risqua de
tomber sur le sol. Il avait les chevilles endolories.
[ Aie ! ]
L’apprenti mystique de Mars reprit son équilibre, puis se tourna vers
une dame au air rabougrit et aux vêtements blanc. En fait c’était une
infirmière, celle qui l’avait soigné pendant son inconscience.
~ Vous avez vu un type nommé Eiji ?
- Non, jamais entendu parler désoler petit.
La vieille femme s’approcha du jeune garçon en le fessant s’asseoir
sur le lit. Elle posa sur son torse à l’endroit exact du cœur, son
stéthoscope froid.
~ Hi...
- Calme toi.
Kaïtô crevait d’envie de partir en courant pour trouver Eiji, mais il
n’avait pas encore la forme. Alors, il se laissa faire par l’infirmière. Se
fut seulement après quelques minutes qu’il pu remettre son gilet et
sortir de cette place de malade.
[ Bon sang ! Où est t’il !!?? ]
Malgré toutes ses recherches, le jeune homme ne retrouva pas
l’apprenti mystique de Mercure. Alors, a la place de ce concentré sur le
social, il plongea dans le travail solitaire.
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| | (lool! pardon, mais je lis jamais les grands rp...ca me donne la nausé, je m'y retrouve jamais!!! sa me fais chier de tt lire! Escusez-moi alors je vasi l'enlever! mais po pouvoir répondre de sitot! mdr!!!-__-^^)
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| | [ HJ : .... -_-' IDIOTE !!!! Tu lis pas les rp ou quoi ?????? Sa me donne le goût total d'ignorer ton intervention pourrit.... ¬¬''' Dsl shu pas aussi poli qu'Eiji... ]
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| | [ H.j. : Désolé pour ce hors-jeu, mais, Katzuo-ne, je crois que vous
n'avez pas lu nos rp. Premièrement, Kaïtô-nam s'est fait coucher par
un homme inconnu, deuxièmement, Kaïtô-nam n'a rien dit qui pourrait
être du charabiat, et, troisièmement, Eïji-ne ne se trouve même plus
dans l'infirmerie, il a été amené à l'extérieur de l'Académie, même, à
l'extérieur de Wyslan par deux hommes. Il serrait bien sage de
modifier votre rp précédent.]
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| | (meuh nan, sauf que j'étais pas là c temps ci!!^^)
Katzuo Aira se retourna, alla vers Mya et lui dit:
"Repose toi, il faut que tu recouvres la santé! Ne parle plus."
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"Ummm...je vais aller te faire des écographie, tu viendras avec moi, dès que tu seras rétablie! Sinon ça fossera tout."
Ensuite tourne sur elle-même, tape du pieds sur le sol, les bras croisé et cria un peu:
"Hého...y a du monde ici! VOus êtes pas tout seul et ce n'est pas un champs de batail l'infirmerie. Vous arrétez tout de suite de vous chamaillez sinon je vous renvoie dehors immédiatement!"
Un vent traversa toute la pièce puis s'estompa! La jeune file baissa d'un ton et continua:
"Ah en plus c'est vous que j'ai vu vous battre dehors!-__-"
***
"Bon, Eiji...tu te mets sur le lit qui se situe à ta droite et Kaito sur le lit à ta gauche."
Se dirige en premier vers Eiji, et le porte sous son bras jusqu'au lit!
*Qu'est-ce qu'il est lourds! Ouff.....-_-*
Le pose délicatement et lui dit de l'attendre sagement et qu'elle revint tout de suite!
Se retourne vers Kaito et l'attrape avzant qu'il ne touche au sol, tombé de fatigue et leur dit:
"Sa vous...apprendra à vous...battre!!!!"
L'emporte sur l'autre lit, à gauche et le pose délicatement, tout doucement, puis l'allonge sur toute la surface. Ensuite va dans une autre pièce et revint avec des médicaments, deux servièttes.
Là, elle va d'abord vers Eiji et lui proguide des soins et dit:
"Sert les dents, sa va faire mal!"
Met de l'alcool +90° sur du coton, en même temps fait un remède. Soigne les blessures sur tout le corps du jeune homme, met une serviette pleins d'eau froide sur son front, le retrempe, le remet plusieurs fois! Ensuite quand elle a fini son remde, le lui fait avalé par petite gorgée et dit:
"Attention!!! Tu vas te salir..."
Lui met une couverture sur lui et va vers Kaito et lui dit:
"Je comprends rien à son charabiat! Sa veut dire quoi????"
***
"Bon, avant de me répondre je vais te soigner! Laisse-toi faire, je vais pas te manger, juste te signer! Ai confiance en moi...."
*Sa va pas être de la tarte!-__-*
Katzuo recommence la même chose comme pour Eiji, puis met ses mains a quelques milimètres du corps et le parcoure. Une aura blanche le parcoura puis, la jeune fille s'adossa sur le mur, fatiguée! Mais elel se releva et se dirigea vers Mya et lui dit:
"Je....je crois que oui!! Je n'en suis pas sur..."
*Vais me retrouver avec deux femmes enceintes sur le dos!*
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| | [ H.j. : C'est très gentil de votre part de nous considérer tel des
fantômes perdu dans le néant de ce monde obscure ! Merci ! (Le
sarcasme est un sentiment très emprein dans mon caractère...)]
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Yeux fermés, peau tendre, il dormait, ou plutôt, il sombrait dans un
inconscient flegmatique. Couché, dans une catatonie presque
effrayante, surtout lorsqu'on savait ce qu'il venait de vivre et de faire
vivre. De temps à autres, un réflexe léthargique faisait bouger
faiblement l'un de ses membres, un geste brusque, sec, vif, mais
très minime.
Peut-être était-ce une coïndence, ou le sort du bon temps, mais à cet
instant, deux hommes, étrangement vêtu de blanc, entrèrent dans la
salle. Jetant un regard vers deux personnes, plus loin, ils virent Kaïtô-
nam, sur le sol, inconscient. D'un pas sûr, ils savançèrent, le prirent, le
mirent sur un lit, puis, l'un deux - moins costaud - sortit un petit
paquet d'un sac qu'il avait en bandouillère. Là, il l'ouvrit, puis, jetant
un regard vers une carte qui ressemblait beaucoup à une photo, il
regarda les gens qui se trouvaient dans l'infirmerie.
- E'ïo ? demanda l'autre, aux airs fermes.
- Ie... ifn, ie rocn... mhm...
Après peu de secondes, son regard jade se posa sur le corps
inanimé, mais faiblement vivant, d'Eïji-ne. Plissant légèrement ses
yeux, il jeta un nouveau regard sur ce qui était véritablement une
photo, une photographie d'Eïji-ne ! En fait, il y avait tout un dossier
complet sur lui, dans ce sac !
- O'ïor u le uil.
- E'erte rus ?
- ...
Il regarda la photo, Eïji-ne, la photo, Eïji-ne, puis, aquiesça.
- Ia !
- Rocca !
Puis, sans même attendre de plus, l'homme plus viril s'approcha du
jeune garçon, et d'une mouvement non très délicat, il prit l'inconscient
dans ses bras, le soulevant, avant de se retourner vers son
compagnon prenant la parole dans leur mystérieuse idiome qui
ressemblait fortement à celle qu'utilisait Nihei.
- Nob ! I'itra, nanetnia !
- Iafra !! s'exclama-t-il en rangeant le paquet de feuilles et de
photos dans son sac blanc et rouge en bandouillère.
Se retournant, sans rien dire à personne, les deux hommes partirent
dans un pas ferme, non bien pressé, mais juste un peu hâtif de partir
d'ici.
- Uo ses nima ! Yark ! s'exclafa l'homme qui transportait Eïji-ne.
- Ouqruo ? E'emi ie nima ?
- Ie !!
Souriant, cette réponse l'amusait. C'était vrai qu'il connaissait bien
son compagnon ainsi, mais bon ! C'était toujours amusant de le voir
s'impatienter pour si peu. De toute façon, s'il n'aimait pas les enfants
et les adolescents, il n'avait qu'à ne pas faire ce travail...
Ils partirent de Wyslan sans aucun mot, aucun au revoir, aucune
explication...
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| | Mya fut couché par Katzuo sur un lit blanc. Elle lui posa alors une serviette d'eau froide sur le front. La mystique de Mercure laissa échapper un gémissement en réction d'une douleur provenant de son ventre. Même si Andromede l'avait soigné, elle éprouva une assez grande douleur a cet endroit. Elle repensa au mots de Lina. Elle lui avait qu'elle serait enceinte. Mais quand? Et comment?
Puis en une seconde ca lui venait.
*La premiere nuit...dans la nuit...mais déja?*
Mya secoua legerement la tête puis la tourna vers Katzuo et lui attrapa en douceur le bras.
-Kat...Katzuo...est-ce vrai? Serai-je...peut etre enceinte?
Elle relacha ensuite la jeune mystique de Jupiter et recoucha sa tête sur l'oreiller. Elle ferma les yeux. Encore un coup la fit gemir. Son ventre lui faisait mal, et depuis une heures, il avait encore grossit. La respiration haletante elle disparut dans son monde, attendant la réponse de Katzuo
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| | Le transportant dans es bras, il arriva enfin a l’infirmerie, Kaïtô en
avait mal au bras. Les coups qu’il avait reçus commençaient à se
ressentir d’avantage en forçant. Brusquement, il senti une puissante
fatigue, alors des yeux il chercha quelqu’un, de l’aide. Fouillant la salle
des yeux il vu la fille qui avait assister a la scène avant de partir avec
le volatile.
Un dernier effort. Le jeune homme déposa rauquement Eiji avant de
s’appuyer contre l’un des lits.
~ Hey... J’ne veux pas jouer les rabat-joie... mais... je crois qu’il faut
s’occuper d’Eiji... Moi... il ne me reste plus grand temps avant de...
Faiblement l’apprenti mystique de Mars se laissa tomber sur le sol,
avant qu’une masse rouge ne sorte vivement de sa bouche. Malgré
son inquiétude, il ne pouvait rien faire de plus pour Eiji, car lui-même
avait besoin d’être soigné.
[ Uhm... Eiji... Tien bon ! ]
Sa respiration était lente, et son corps inactif. Adosser contre une
commode, l’une de ses mains tenait un bout de la couverture du lit où
était étendu l’apprenti mystique de Mercure.
[ Heureusement que je suis parvenu jusqu’ici. ]
~ Uff...
Kaïtô sombra dans l’inconscience, toute force l’avait abandonné, enfin
il avait le droit au repos. Là, tout était fini, du moins il l’espérait. Tout
le monde devait ignorer ce qui c’était passé, personne ne devait
s’avoir.
Un mince filet de sang s’écoulait de sa bouche à demi-ouverte. Ses
yeux clos démontraient son inconscience, le sol lui semblait
pratiquement confortable. De toute façon, il ne pouvait plus bouger a
présent.
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| | Venu du jardin, Eïji-ne fut porté à l'infirmerie par son amant, qui le
transportait dans ses bras. Les yeux fermés, le visage aussi doux
qu'à son arrivée à l'Académie. Malgré le fait qu'il était tâché de sang
de la tête aux pieds, il semblait serein, calme pour la première fois
depuis longtemps. Mais la sérénité n'était pas partout, car elle ne
l'était pas dans son esprit...
[ ... ]
Noir, froid, un peu humide, mais sec, assez sec ; c'était ainsi qu'était
l'endroit. Il n'y avait pas de murs, pas de plafond, juste un sol noir,
sabloneux.
Mais, une plainte, douce, tendre, nostalgique... triste...
- Pourquoi j'ai fais cela... ? Je ne voulais pas... je ne voulais pas...
pourquoi... ?
- Parce que t'ai un idiot, Eïji-hca !
Levant sa tête, recrocquevillé sur lui-même, il vit ce qu'il ne voulait
voir... lui ! Il se voyait, lui-même, en face, devant ses yeux.
- ... ?
- Écoute-moi, imbécile ! J'en ai mârre de ton comportement !!
- Mais... ?
- Ferme-là !! Je n'ai pas fini !
Il se recrocquevilla davantage, le visage encore plus triste. Une seule
parole, un seul cri, il n'aimait pas cela.
- Quoi qu'il en soit, même si, pour l'instant, t'as réussit à me mettre
des bâtons dans les roues, grâce à ton "nam", tu devrais payer un
jour pour tes fautes !
Relavant rapidement sa tête, il ne pû s'empêcher de répliquer...
- Mais !? Et ma nisuo !! Sadahiko-nisuo'iov ria eya !
- Na cnatropm !!!
Il rabaissa rapidement sa tête.
- Do-Tinamu'iov ria eya, ia a Io-Ora !!
Les larmes lui montant aux yeux, il serra ses dents en entendant ce
propos. Il avait reçu sa leçon en perdant la vue, fallait-il vraiment qu'il
paye encore ? Il n'en pouvait plus. Il savait bien qu'il avait fait une
énorme faute, il savait bien qu'il avait très mal agit, mais le fait de
perdre la vue n'était pas assez ? Selon le Io-Ora, il fallait comprendre
que non...
- ...
[ ... ]
D'autres larmes glissèrent d'entre ses paupières closent. Il était
encore dans un sommeil profond, mais non joyeux. Il avait mal, mal au
coeur, mal à la tête, mal, mal partout. Une coulée de sang glissa le
long de son cou. La majorité du sang qui tâchait ses vêtements
n'était même pas le sien, mais celui des deux professeurs qu'il avait
tué...
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