BRAVO Maeril^^');"> oui, c'est très beau et en même temps très triste, BRAVO Maeril^^
Karen
waouuuu genial^^ Ils sont trop bo^^ Je l'adore cette phrase ^^ :"Ils connaissent la valeur, du plus petit bonheur De chaque chose ils profitent, attendant la mort sans suite "
maeril
merci beaucoup Karen...en voilà un autre Il est....spécial....triste comme d'habitude....enfin vous verrez!lol il est également en alexandrin^^ Ils ont peur
Pourquoi ont t’il si peur ? Du plus grand des malheur, Ont t’il vraiment un cœur ? N’écoutent t’ils que le leurs ? Ils prennent un autre sujet, car la mort les effraient Quand je me confiais, tous mes mots ils fuyaient
Pourtant j’ai sans doute tord, car j’espère encore Qu’un jour sans un effort, ils tolèrent le mot mort Et même celle d’un enfant, d’un être si innocent Qu’ils ne fuient plus tout le temps, devant un destin révoltant
Dès qu’ils sentent la détresse, de partir ils s’empressent Ils ignorent ma détresse, par peur de leur propre tristesse Car c’est par ma souffrance, que leurs douleures avances Ils préfèrent l’ignorance, où ils noient leurs souffrances
Mourir c’est ce qu’ils craignent, et ils se détournent d’elle Ils se terrent dans leur rêve, dans leur monde iréel Et tous les endeuillés, avance le cœur brisé Mais sont avantagés, par la triste vérité
Ils connaissent la valeur, du plus petit bonheur De chaque chose ils profitent, attendant la mort sans suite
Karen
Il sont trop beau t'es poeme^^ Surtout le premier il est magnifique^^ J'espere en lire d'autre
maeril
lol!merci Alvia....tu les connais tous mais bon....tes désirs sont des ordre j'en post un autre!^^
Partir
Un désir de partir, et d’enfin s’endormir N’avoir envie de rien, sauf de s’envoler loin Ne plus jamais souffrir, et désirer mourir Ne plus voir le matin, même pas sa douce main
Sentir son cœur vidé, et son corps fatigué Avoir perdu l’espoir, d’enfin sortir du noir Etre désespéré, ne pouvant que pleurer Et quand même les revoir, ne calme pas vos déboires
Vivre toujours enfermé, dans un monde clôturé Ne pouvoir en sortir, ni pouvoir s’en enfuir Etre en train d’asphyxier, à n’en plus respirer Et se sentir mourir, ne plus désirer vivre
Tomber soudain à terre, se laisser soudain faire Ne plus avoir de peurs, ni entendre son cœur Voir l’âme qui se libère, et s’envole si légère Ne plus vivre le malheur, renoncer au bonheur
Ne plus rien ressentir, ne plus devoir mentir Et ne plus respirer, pour enfin tout quitter
Alvia
magnifique Maeril !! tu devrais tous les poster !!!!!
maeril
merci Andromède....mais la totalité de mes poèmes sont tristes^^! ou plutot mélancolique....en voilà un autre
Mon étoile
Une étoile brille dans le ciel Eclairant mon teint vermeil Telle un oiseau sans ailes Devant sa beauté je m’émerveille
Elle est la seule lumière Eclairant mon univers Toujours un peu plus rempli de misère Mais, sans arrêt elle m’éclaire
Et pourtant une nuit Elle me quitta sans bruit Dévastée par la maladie Ma petite étoile laisse un vide infini
Mais encore ce soir Je garde en moi l’espoir De quelques secondes la revoir Assise j’attends dans le noir
Je voudrais lui dire une dernière fois Combien elle compte pour moi Et pouvoir de nouveau la contempler d’en bas Lui dire qu’a jamais elle vivra en moi.
Andromede
C'est triste ... Mais c'est très beau^^
N'hésite pas à nous en montrer des autres^^
maeril
Salut à tous!je suis nouvelle et j vourdait en profiter pour vous montrer certaines de mes créations.....voici un poème en alexandrin
Dehors la vie, En moi la mort
Dehors il fait froid, le vent soufflant sur les toits, Le parc est gelé, toute la ville est enneigée. Mais alors pourquoi, est ce encore plus froid en moi ? Mes membres sont glacés, mon cœur est comme arrêté.
Dehors j’entends rire, ceux qui jouissent encore du plaisir, Les bancs sont remplis, de gens sans aucuns soucis. Moi j’endure le pire, sans réussir à sortir, Ma joie s’est enfuie, mon corps est privé de vie.
Dehors une colombe, prend son envol telle une ombre, Elle part dans les airs, libérée de toute misère. Moi je creuse ma tombe, je bascule dans la pénombre, Je reste prisonnière, plus rien ne me libère.
Dehors le soleil, tout doucement se réveil, Les rayons éclatent, révèlent mon corps encore moite. Moi mon ange veille, et me plonge dans le sommeil, Le froid qui m’exalte, me propulse loin de l’asphalte.
Tout est bien finit, j’ai enfin quitté la vie, J’ai tout retrouvé, je suis enfin avec l’être aimé. Entre mort et vie, j’ai depuis longtemps choisis Pour l’éternité, je pars et repose en paix